Préface : le testament
En l’an de grâce 2012 un petit pays que l’on nommait la France, se trouvait en pleine tourmente.
Cette contrée historique autrefois prospère, n’avait pas survécu à la crise économique mondiale survenue en l’an 2007, issue finale de la dégradation de sa splendeur économique qui avait pourtant débuté 40 années auparavant.
Le pays des gaulois comme l’on nommait dans les temps anciens, les habitants de la région, avait péché par orgueil, vous savez ce mal qui vous ronge et vous empêche de voir le monde tel qu’il est : « constamment en mouvement ! ».
En s’appuyant sur les acquis glorieux de leurs ancêtres les dirigeants de l’époque n’avait pas su anticiper l’évolution de l’ordre économique mondiale et avait préféré s’entretuer pour le partage des miettes d’un empire déclinant puis déchu.
C’est pour cela que vous lisez cela aujourd’hui mes enfants pour apprendre à retenir les leçons du passé et ne pas répéter les erreurs de vos parents.
Rien n’était pourtant une fatalité en 2012, des réformes courageuses auraient pu être menées, elle aurait permis à la France de continuer à exister dans un monde concurrentiel et impitoyable.
Voici aujourd’hui le schéma de mon manifeste, aujourd’hui oublié, il vous éclairera peut être, vous qui êtes les garants de notre futur.
- L’éducation la base d’une civilisation
- Civisme et esprit d’appartenance
- Spécialisation économique et excellence scientifique
- Le rêve Européen
- Une constitution nouvelle pour un monde tourné vers le futur
- Un nouveau système de redistribution pour un équilibre à long terme
- Un système d’investissement massif, durable et responsable
- Nos nouvelles villes adaptées à nos nouveaux modes de vie
- Liberté, égalité, fraternité, justice
- Cohabitation, guerre des civilisations et des religions.
Vous trouverez dans ce modeste ouvrage quelques propositions détaillées vous permettant de réfléchir sur notre passé, notre présent et donc sur votre avenir.
Testament d’un défunt, 22 Janvier 2081.
Publié le 9 novembre 2012, dans Billets d'humeur de Sylvain. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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