Le mythe du grand méchant recruteur et du chômeur laxiste

Ça y est, je suis de retour !

Désolé les followers pour cette trop longue absence mais j’avais vraiment besoin de recul pour retrouver de l’inspiration.

Et me voilà dans une situation inédite depuis que j’ai débuté ma vie professionnelle… je suis à la recherche d’un emploi. On ne peut pas dire officiellement chômeur, car je ne suis pas allé voir « Pôle » pour m’inscrire et pour tout vous avouer, je n’ai absolument aucune intention de le faire.

Ce qui parait « étrange » à pas de mal de mes proches, c’est que cette situation est volontaire, elle répond à un besoin profond et rapide de changement, sans « parachute » sans « bretelles ».

Il m’est donc plus facile aujourd’hui d’écrire sur la thématique de l’emploi car directement concerné, je pense que l’on est d’autant plus crédible pour parler d’un sujet lorsque l’on est soit même impliqué.

Bref je vais vous parler de recrutement…

« J’ai convoqué 10 candidats en entretien et 2 seulement sont venus »

Je vois régulièrement apparaître sur LinkedIn des débats entre recruteurs et chercheurs, assez paradoxaux. Les recruteurs disent avoir toutes les peines du monde à trouver des candidats correspondant à leurs recherches, certains affirment même que les personnes ne sont plus professionnelles, assez motivées ou même respectueuses ; Quelque chose du genre : « J’ai convoqué 10 candidats en entretien et 2 seulement sont venus… blablabla ».
Les chercheurs eux se plaignent de la faible attention portée à eux en tant que personne par les recruteurs et en ont assez des réponses automatiques et impersonnelles du genre : « Bien que votre candidature soit de qualité…blablabla, nous avons le regret de…blablabla, cependant nous gardons… blabla… »
En résumé la rencontre entre offre et demande de travail est souvent une situation stressante, angoissante, voir synonyme de souffrance pour toutes les parties. Pourquoi ?

« Essuyer un refus de la part d’un recruteur est souvent vécu comme une remise en cause de soi entant que personne »

Bien évidemment la première réponse à cette question est d’ordre matérielle, si un chômeur doit trouver un travail rapidement pour pouvoir nourrir sa famille, sa situation devient vitale, donc génératrice d’angoisse. Chez le recruteur, c’est son travail qui est en jeu, particulièrement dans les cabinets, s’il ne répond pas vite et bien à la demande de son client, la concurrence elle s’en chargera…

Mais le malaise peut être beaucoup plus profond que cela. En effet essuyer un refus de la part d’un recruteur est souvent vécu comme une remise en cause de soi entant que personne, ce qui cause beaucoup plus de dégâts. Le refus, ou pire l’absence de réponse est ressenti comme un manque d’amour, une indifférence destructrice pour la personne qui souhaite être réconforté, un abandon pour qui souhaite être adopté. Or là, se situe la principale erreur.

« Le recruteur est payé pour répondre à un besoin productiviste, pas pour vous aider à avoir confiance en vous »

Pour cela il faut comprendre comment fonctionne un cabinet de recrutement. Pour y avoir travaillé pendant un an, j’ai quelques pistes de réflexion à ce sujet. Le métier de consultant en recrutement est un métier de commercial avant tout, le recruteur prospect son client qui lui passe une commande. Dans aucun cas de figure le client ne demande au recruteur de trouver quelqu’un de sympa, de cultivé ou de « bien » au sens étique du terme. Sa demande porte sur une « Ressource Humaine », correspondant à une fiche de poste précise et très souvent très structurée. Il a besoin que la « Ressource » choisie soit en capacité de produire vite, efficacement tout en réduisant les coûts et surtout les risques. Lorsque vous achetez une machine à laver le linge, vous avez envie qu’elle lave bien, qu’elle soit fiable, économique et surtout qu’elle est été dessinée pour laver du linge et non de la vaisselle. Tout cela est cynique, mais c’est bien cela qu’une « industrie » achète lorsqu’elle fait appel à un cabinet, le recruteur est payé pour répondre à un besoin productiviste, pas pour vous aider à avoir confiance en vous.

Cela ne remet en rien en cause la qualité humaine des recruteurs en tant que tel, qui pour la plupart souhaiteraient avoir le temps de recevoir plus de monde, écouter, conseiller et aider. Généralement ils tentent même de « challenger » les idées reçues de leurs clients en leur proposant des candidats « atypiques » ou en expliquant que le trop célèbre « mouton à 5 pattes » n’existe pas. Eux aussi soufrent de na pas pouvoir faire leur métier autrement et rêvent de pas avoir à repérer des mots clés dans un CV en moins de 10 secondes.

 

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« L’école nous a formaté pour répondre aux besoins de l’industrie pas pour êtres humains, or un humain a besoin d’amour, pas une « Ressource Humaine ».

Lorsque l’on est conscient de cela en tant que chercheur, on peut relativiser la situation en se disant que lorsque notre candidature est rejetée, cela ne remet en rien en cause ce que l’on est en tant que personne globale, ce n’est pas un manque d’amour ou un abandon de la société mais une simple impossibilité de superposer une fiche de poste à un CV (qui souvent ne dit vraiment rien sur vous d’ailleurs). N’oubliez pas que l’école nous a formaté pour être des moyens de production au service de l’industrie pas pour êtres humains, or un humain a besoin d’amour pas une « Ressource Humaine ».

 

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« La seule manière de bien vivre la situation est d’avoir confiance en soi et de considérer la recherche d’emploi comme un jeu ».

On a tous envie d’être « chassé » car cela flatte notre ego, nous donne le sentiment d’être estimé et considéré par nos pères. Mais le mécanisme fonctionne dans les deux sens, pourquoi sommes-nous chassé ? Pour ce que nous sommes vraiment ou parce que nous savons remplir une fiche de paie ou coder une page en CSS? Les Hardskills ne confèrent aucune légitimité à une personne sur son « talent » mais lui donne temporairement le privilège d’être « Bankable », car en capacité de répondre aux besoins du marché des techniques.

Alors comment réagir pour être le moins possible affecté par la situation ?
Selon moi, la seule manière de bien vivre la situation est d’avoir confiance en soi et de considérer la recherche d’emploi comme un jeu.

Je m’explique, comme dans un rubis cube, il existe forcement dans ce monde une combinaison qui nous permettra de rencontrer l’emploi. Il existe forcément une industrie qui aura besoin de nos compétences techniques, ou encore mieux, une personne qui nous fera confiance parce qu’elle nous « aime ». Nous la rencontrerons peut-être en répondant à une annonce, en trouvant un recruteur qui a le temps, grâce à une connaissance commune ou tout simplement en discutant dans un café.
C’est cela le jeu de la vie, ce qui confère du charme à notre existence, tout n’est pas planifié, structuré et cousu d’avance. Laissons-nous le droit d’accepter le vide, de l’apprécier même. Donnons-nous les moyens de trouver, mettons de l’énergie et du cœur dans notre recherche et jouons. Amusons-nous à taquiner le destin à le provoquer et à s’enrichir de nos échecs, ayons confiance en nous, soyons humain !

 

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Recrutement: Le candidat idéal vu par une étudiante en DUT!

– Donc, pour récapituler, vous avez l’expérience souhaitée, vos compétences sont remarquables, vous parlez anglais et allemand couramment, vous avez des notions de chinois et de russe, vous travaillez efficacement, vous gérer votre temps à la perfection, vous apprenez vite, vous savez faire preuve d’initiative, vous savez faire le café, vous voulez le salaire minimum, les déplacements ne vous dérangent pas, vous n’aimez pas prendre de vacances, vous n’avez pas d’obligations extérieures, les risques psychosociaux rebondissent sur vous, vous êtes incapable de faire un burn out, vous êtes aimable & souriante, vous êtes sociale. (Et en plus, elle est canon !) Vous êtes la candidate idéale ! Vous êtes le Graal !

– Hé, réveille-toi ! La pause est finie, on a encore sept candidats à recevoir.

– … Hum… Dis, tu penses qu’on le trouvera notre candidat idéal ?

– Bien sûr, tu ne veux pas une licorne aussi ?

– Ça serait comme trouver le Graal…

– « Le Graal, c’est une vraie saloperie, méfiez-vous. Un jour c’est un vase, une semaine après une pierre incandescente. » Haaaa ! J’adooore Perceval !

– Faut vraiment que t’arrêtes de regarder Kaamelott !

Non mais sérieusement ! Qui est le candidat idéal ? Est-ce qu’un modèle type existe ? Est-ce que tous les recruteurs ont le même candidat idéal ? Quelles sont ses qualités ? A-t’il des défauts ?

Si vous pensez avoir trouvé le candidat idéal, un conseil : fuyez ! Le « candidat idéal » a sûrement rajouté une compétence ou une expérience pas tout à fait authentique sur son CV, et c’est cette compétence / expérience qui fera la différence, qui fera passer ce postulant de la case « pourquoi pas » à la case « idéal, oui je le veux ! »

Pour paraphraser Perceval, nous l’avons tous vécu : quand notre chef nous annonce que notre futur collègue est un « vase », qu’il va révolutionner le bureau, nos méthodes de travail et notre routine. Puis au bout d’une semaine, nous nous rendons compte que le « vase » est en fait une « pierre incandescente » : il est comme nous ! Il débute ! Il éprouve les mêmes difficultés que nous avons eu en arrivant dans l’entreprise, il se demande quel est le délai politiquement correct pour commencer à parler de ses prochaines vacances et il s’est aussi fait avoir par la machine à café qui ne rend pas la monnaie !

Enfin, pour répondre à la question posée : « Vous êtes manager, vous recrutez pour votre équipe. Quel serait votre candidat idéal ? Pourquoi ?

Je vous dirais que mon candidat idéal, c’est surtout celui qui ne l’est pas ! Après tout, le Graal n’est qu’une légende. Par contre, pour trouver le candidat qui fera l’affaire, qui correspondra aux attentes et qui s’intégrera à l’équipe, je pense qu’en plus de l’option « décryptage de CV », il faut avoir un peu d’intuition !

Marie-Sophie Fevez, étudiante en 2A alternance, DUT QLIO

The Compagny : seuls au monde

Début de l’émission:

Mike_horn_avao

La voix :

  • « Dites nous Mike, vous qui êtes un expert en survit au sein du monde du travail comment survivre dans cette atmosphère dangereuse et hostile ? »

Mike Horn :

  • « L’important en survie, c’est de survivre !!! »

La voix :

  • « Merci Mike pour vos apports précieux »

 

Loin des denses jungles d’Asie du Sud Est et de ses îles désertes et hostiles à l’homme, nous sommes allés encore plus loin en mettant un groupe d’hommes est de femmes en immersion totale, pendant 28 jours, dans l’endroit le plus sauvage au monde, là où tout peut arriver: « l’entreprise » 

Les candidats tenteront de survivre aux coups bas, aux jeux de pouvoir, aux petits chefs, à la surcharge de procédures, aux ragots et autres médiocrités en tous genres, tout cela pour un salaire dérisoire et sans rien à gagner à la fin. Vivez avec eux l’expérience ultime. 

compagny_jungle

Les candidats débarquent dans l’entreprise un Lundi matin à 8H30 armés simplement de leur mallette  et d’un stylo par personne. L’endroit est hostile, tous les regards tournés vers eux :

  • « Tiens encore un bizut que je vais devoir former, je n’ai pas le temps… »
  • « Je ne le sens pas celui-là »
  • « Oulla, il a l’air trop malin, attention qu’il ne me pique pas ma place »
  • « Encore un qui va venir fouiner dans mes affaires »

Essuyée la tempête des critiques et des aprioris, il va être temps de proposer leurs idées et projets tout en tentant de rester optimistes et motivés :

  • « Tiens c’est une bonne idée, je vais la retoquer et me l’approprier »
  • « Pffff, où va-t-il chercher ses idées celui-là, ça fait 10 ans que l’on fonctionnait comme ça et que ça marche très bien… »
  • «  C’est qui cette boîte innovante avec qui il veut bosser, tu vas voir qu’il va me demander de ne plus travailler avec le cousin de mon beau-frère qui a une super entreprise de consulting de la mort depuis 40 ans… »

La voix :

  • « Mike votre avis ? »

Mike:

  • « L’important pour survivre, c’est de ne pas mourir ! »

La voix :

  • « Merci Mike »

Que vont devenir nos candidats, vont ils survivre et s’acclimater où devront ils partir afin de fuir leurs quotidiens.

Supporteront-ils pendant 28 jours le manque de reconnaissance, trouveront-ils une source de motivation ?

Resteront-ils soudés où l‘équipe va-t-elle se déchirer ?

Vous le saurez dans le prochain épisode de « The Compagny, l’expérience ultime », bientôt chez vous, dans toutes vos vies !

L’entreprise Idéale Existe-t-elle ?

‘‘L’Étudiant est en retard. Comme souvent. Il a pris ce rendez-vous il y a plusieurs semaines déjà. Cet entretien ne semble peut-être pas prometteur mais il ne peut pas se permettre de passer à côté. Il est au bon endroit, devant la bonne porte. Sa montre indique 9h15. Un quart d’heure de retard, personne autour de lui. Il ouvre, s’avance jusqu’à la table et s’installe. Au même moment, quelqu’un frappe à la porte. C’est elle.

L’Entreprise est plutôt grande, blonde, sexy, avec un regard perçant. Elle s’approche sensuellement et s’installe face à l’Étudiant. Après un petit silence, il engage la conversation de manière autoritaire :

-Bonjour, vous êtes en retard

-Oui, excusez-moi, dit l’Entreprise, mais je vous ai vu arriver. Nous avons apparemment tous les deux un problème avec la ponctualité. Cela-dit, ça nous fait un point commun et ce n’est pas un problème pour moi

Sa voix est douce et enivrante. Elle continue :

-Avec moi, pas d’impératif. J’ai lu votre annonce et je pense répondre à vos attentes. Je crois réellement être votre entreprise idéale

-Ce que je recherche, dit l’Étudiant d’une voix de moins en moins sévère, c’est une entreprise qui me comprenne. J’ai eu plusieurs relations courtes et décevantes, avec des entreprises qui ne me donnaient pas assez. Je n’étais pas épanoui professionnellement et je n’avais aucune assurance pour mon avenir. J’attends donc de vous que vous soyez disponible pour moi. Je veux une relation enrichissante, excitante et captivante. Je ne veux plus tourner en rond. Je vous regarde, et je vois une entreprise agréable à regarder, de belles formes et tout à fait charmante. Mais j’ai peur de revivre une déception. Seriez-vous capable de donner un sens à une possible relation ?

-Tout ce que je peux vous dire, reprit l’Entreprise, c’est que je suis confiante. Je comprends vos doutes, vos incertitudes et je perçois très clairement ce que vous recherchez chez une entreprise comme moi. Je vous promets d’être à l’écoute, de vous accompagner et je saurai vous récompenser pour votre sérieux. En ce qui concerne l’avenir, je suis prête à assurer votre évolution et vous donner des responsabilités dans notre relation.
L’Étudiant semble réfléchir. Les yeux plongés dans ceux de l’Entreprise. Une osmose s’est créée entre eux. Un instant plus tard, il se lève, tend sa main et dit :
-Je pense que vous avez un potentiel plus qu’intéressant. Je vous rappellerai pour vous proposer une période d’essai dans les plus brefs délais.’’

Cela vous semble-t-il crédible ? Bien sûr que non. C’est pourtant une image de ce qu’est parfois devenu les entretiens d’embauche d’aujourd’hui. Les rôles sont parfois inversés au point de ne plus savoir qui est qui.

L'entretien_inversé
Le but ici n’est pas de faire une généralité, mais de mettre en avant le fait que l’entreprise idéale n’existe pas. C’est comparable à l’amour. Comment savez-vous, en rencontrant quelqu’un, que cette personne sera celle qu’il vous faut ?

La vérité, c’est que vous n’en savez rien. Il y aura toujours des concessions à accepter. La seule façon de se faire une idée, c’est de sauter le pas. D’avancer. Dans la vie professionnelle, c’est la même chose. Vous ne saurez pas si cette première journée de travail sera la première d’une très longue série. Vous ne saurez pas si c’est (presque) pour la vie. Et si ce n’est pas le cas, vous vous en rendrez compte bien assez tôt. L’erreur est humaine et nous avons tous le droit à une seconde chance.

Mais quelle que soit l’entreprise, il y aura toujours des mauvais côtés, comme des bons. Des sacrifices à faire, comme des satisfactions à ressentir.
Alors, un conseil : Foncez !

Valentin FLORY- Étudiant en 2éme année IUT QLIO à Luneville

 

Pourquoi vous avez besoin d’un coach en 2016 ? (partie 1)

Il est de tradition à chaque 1 Janvier de réaliser une belle liste très ambitieuse, résumant les bonnes résolutions que l’on souhaite prendre et appliquer dans les mois à venir. Cette belle liste est généralement rangée au plus profond de votre cerveau pour le plus « malins », sur un bout papier blanc ou un petit Post It accroché au frigo, pour les autres (non, non, ne nié pas, je vous ai reconnu !).


Vous jurez, comme chaque année, de vous tenir à la mise en pratique strict de ces bonnes résolutions et vous promettez que 2016 sera l’année de la réalisation de tous vos projets.
Puis arrive le 4 Janvier (ou le 5 pour les plus forts mentalement):
9H : Vous arrivez au bureau, votre patron vous souhaite la bonne année, puis vous « motive » en vous annonçant que vous devez assurer en 2016, vous impliquer encore plus dans votre travail, car la situation économique n’est pas réjouissante….bla….bla…bla
9H 30 : Vous recevez un appel de la crèche, votre petit dernier est malade, il a encore mal avalé un Bretzel (il est atteint du fameux syndrome Georges W Bush) et a besoin que vous rentriez vite pour l’amener aux urgences…
13H : Retour au travail, votre collègue Lulu vous raconte « rapidement » (soit pendant 3H15) ses vacances de noël, son repas pas de famille trop copieux, vous explique que c’est encore elle qui a fait la cuisine toute seul, sans l’aide de son fainéant de mari, l’histoire de son cousin Lucien qui raconte des blagues raciste et a des gaz tous les 31…
17H30 : Il est temps de rentrer, vous prenez votre voiture et entendez les derniers chiffres de chômage, une liste de morts impressionnante au moyen orient….vous zapper, Chouette Cyril Hanouna et se bande de joueuses de trompettes vont vous faire rire, mais vous n’aviez pas déjà entendu cette vanne le 4 Janvier 2015, le 4 Janvier 2014, le 4 Janvier 2013… ?
20H : Vous êtes affalé dans votre canapé, épuisé par cette journée de rêve et vous vous lobotomisé devant la dernière émission originale d’M6 « Qui est le meilleur assureur en responsabilité des sinistres agricoles ? » Présentée par le petit nouveau de la chaine Stéphane plazza. Sans vous en apercevoir vous avez déjà démonté 2 boites de chips et bu 4 Coca « light ».
23H : Vous allez vous coucher. Où est passé votre régime 0 calorie ? Ou est votre séance de yoga ? Envolée la promesse de ne plus raller, de toujours voir les choses positivement ! Aux oubliettes votre projet de voyage au Népal, votre changement de Job…
En 2016, OUI, vous avez VRAIMENT besoin d’un coach !